«Ni perro, ni pastor». 2006
Installation Gallerie Kur Saint Sebastien (Guipuzcoa)
Des moutons, sans gardien pour veiller sur eux , condamnés à se suivre en un cercle, infini et perpétuel. Pour celui qui veut se distinguer des autres, un petit oiseau inerte est emprisonné dans sa cage thoracique.
óscar Vautherin, Madrid 1970, présente une série d’installations où il remet en question des concepts tels que la liberté, le naufrage, l’innocence, la nécessité et l´individu. Galerie Kur de Saint-Sébastien
ILS NE SERAIENT RIEN…
Tout bouge dans l´exposition d´Oscar Vautherin à San Sebastian : ou bien ça bouge ou bien ça possède la capacité de le faire . Les pièces et les installations se déplacent lentement, sans hâte, vers une fin moins importante que leur propre voie à suivre. Les questions de l´artiste se déplacent vers le spectateur et c´est à lui de résoudre le problème maintenant, un problème qui demande du temps et de l´attention car les clés des réponses ne sont pas au verso de la page ou verticalement , elles sont devant et exigent l´effort de l´observateur. C´est ce même effort qu´on apperçoit et qui écrase en contemplant un tel développement dans son exécution. Cependant ce n´est pas dans l´exercice de fabrication des pièces que l´échantillon surprend , mais dans la projection que l´artiste fait passer de la matérialité des objets aux pensées qui remplissent la pièce. C´est dans ce passage que se trouve la proposition et le succès. On ne peut se réfugier dans cette prmière étape. Ah! Comme ces moutons de fer sont bien résolus. Ni le plus primaire des observateurs pourrait en rester là et cette projection , en avant , des contenus est une clé essentielle dans l´art non seulement contemporain mais depuis toujours. Dans les peintures rupestres la magie de la communication avec nous consiste en sa capacité de nous transmettre à partir de son efficace mise en scène , tous leurs désirs, leurs craintes, leurs croyances et eurs espoirs: des idées en définitive. La plus grande différence avec ces prédecesseurs se trouve peut être dans l´INTENTION. Car bien que le reflet du monde intérieur émerge de la même façon dans les deux cas, c´est maintenant que l´artiste conçoit la communication comme l´axe essentiel de son travail : une communication qui dans le cas d´Oscar Vautherin découle de l´observation du contexte et de la décantation de sa sensibilité sociale, généreuse face à la faiblesse et incisive face à la paresse. La narration devient nécessaire lorsque le contenu de la plainte est développé ou qu´une situation politique est illustrée. Elle est développée de manière schématique comme un reflet des pièces elles-mêmes où leur finition se trouve au point exact pou ne pas y rester et passer à cette recherche d´engagements et de complicités avec le spectateur dont nous parlions auparavant. Dans l´ouvrage intitulé «Ni chien , ni berger» nous trouvons dix.neuf éléments construis en tige de fer épaisse avec l´ aspect clairement reconnaissable d´un être vivant : un mouton. Est-il possible de penser à un être plus faible ? Le pauvre n´a même pas de cornes! Sans défense totale, c´est pourquoi il a été choisi. Tous ces êtres disposés en un grand cercle avec seulement deux cassant la linéarité la plus absolue, essayant la différence contiennent une trouvaille: l´un d´eux expose `a l´intérieur de sa structure un oiseau mort.Voilà ce que nous propose l´artiste jusque-là. À partir de ce moment il faut se mettre à penser: si l´oiseau est domestiqué , la grille qui l´enferme devient alors une cage et par conséquent tous les autres moutons deviennent à leur tour des cages qui cheminent dans la même direction avec peut être un leader qui marque la différence mais qui ne porte pas de vie en lui mais seulement un être mort: le symbole dramatique d´un processus social dirigé.
La cage est un élément cher à Vautherin, bienqu´il nous pousse à penser, que ce n´est pas l´élément en soi qui l´intéresse mais plutôt sa relation avec la LIBERTÉ, ce mot si grand , tant de fois prononcé dans d´autres temps peut maintenant être l´objet d´un débat, même s’il semble étrange, même si cela semble un peu dépassé. Cherchons l’essentialité du concept et nous comprendrons pourquoi un artiste contemporain peut parfaitement la soumettre à discussion. L’idée de LIBERTÉ a été historiquement comprise comme la possibilité d´un choix, comme l´expression de la volonté, comme l´absence d’ingérence, comme la libération de quelque chose ou pour accomplir quelque chose, comme l´exécution d’un besoin. Bref, il y aurait deux directions: celle de «pouvoir faire» et celle d´une limitation pour le faire. En schématisant beaucoup, on pourrait dire qu’au cours du XXe siècle il y a deux types d’attitudes, dans la pensée, à l’égard de la notion de liberté. D’une part, ceux que nous considérerions comme «analytiques» et de l’autre ceux qui seraient plus proche d’un type de réflexion «existentielle». Dans le premier cas, le concept de liberté est intrinsèquement lié à celui du «déterminisme». Des penseurs «déterministes» tels que Spinoza ont soutenu que la liberté consiste fondamentalement à suivre sa nature, parce qu’il est lié à la réalité.
Ces auteurs, qui se sont fortement appuyés sur Aristote, soutiennent que chaque acte est déterminé d’une manière ou d’une autre, ne trouvant aucun conflit entre les possibilités que les actes des hommes aient été déterminés et la liberté de l’individu. De l’autre côté, nous trouverions, de manière générique, ceux qui sont proches du flux «existentiel». Le concept de liberté en tant que self-making est présent en eux. Ortega nous décrit que, puisque la vie humaine est quelque chose qui doit être fait, il n’y a pas d’autre choix que de prendre des décisions à tout moment. Il n’y a donc d´autre remède que celui de s’inventer continuellement. Dans ce sens, La liberté n’est pas quelque chose que nous possédons, mais quelque chose que nous sommes ou que nous construisons en chemin. Nous sommes donc obligés d’être libres. Sartre plonge dans une ligne similaire avec sa célèbre phrase: «L’homme est condamné à être libre «, tout en reconnaissant qu’en de nombreuses occasions la réalité humaine essaie de masquer sa propre liberté et par conséquent sa responsabilité, devant l’angoisse que ces deux possibilités lui produisent .
Pour Sartre «La liberté humaine précède l’essence de l’homme et la rend possible. L’homme n’existe pas d´abord pour être libre plus tard : il n’y a pas différence entre l’être de l’homme et son être libre. «De cette manière, l’auteur nie le débat sur la question de savoir si l’homme est libre ou non, car il ne peut être tant qu’il est gratuit. Reliant cette approche à l’installation d’ Oscar Vautherin, nous constatons que dans ce cercle de cage à moutons, il renierait l’existence de ces êtres, puisque la mutilation de leur liberté impliquerait leur disparition . Ils ne seraient rien. La pièce intitulée «Piedad» comprend cinq clichés photographiques, l’un des grands format, dans lequel une petite fille nue marche à quatre pattes entre de grands pièges à ours en acier construits pour l’occasion. Innocence, danger, tension, absence de défense, apparaissent au premier coup d’œil. Mais rappelez-vous que l’auteur nous demande d’aller beaucoup plus loin. Je considère que la proposition est renforcée en complétant chacune de ces sensations sous la forme de questions enchaînées: DANGER, pour qui? Qui sent le danger: le fille, le spectateur, les parents? Qui pose les pièges? De quels dangers parlons nous? IMPUISSANCE, les êtres faibles doivent-ils être surprotégés? Devraient-ils continuer leur chemin risquant que leur développement ne soit pas souhaitable? Le père doit-il risquer sa vie ou son projet de vie pour son fils?
TENSION, le spectateur a-t-il besoin d’une image de violence extrême, contenue ou non, pour développer son humanité? A l’être humain Certainement habitué à la tragédie des autres acceptable Pourquoi une situation qui à un moment donné serait considérée comme socialement acceptable dans un autre contexte serait intolérable? INNOCENCE, si dans la pièce mentionnée ci-dessus un être censé innocent, comme un mouton, devient une cage, (qui sert: précisément à priver les êtres innocents de liberté), dans cette image Je veux remettre en question, ou du moins soulever, la possibilité que l’idée d’une telle fille innocente peut également ne pas l’être. Si nous regardons l’ensemble à partir de la série photographique, on voit que tout est plein de pièges. L´ écart correspondrait à l’un d’entre eux qui est occupé par ce symbole bébé, votre propre être innocent pourrait se transformer en une autre embuscade, en tenant compte du fait que les enfants ont toujours été utilisés comme un élément de rétention, soutien et édification dans les noyaux sociaux de base. C’est dans notre propre nature. Dans tous les cas, cette appréciation personnelle rejoint tout ce que peut générer cette image, car son efficacité réside dans cette capacité à promouvoir les questions qu’elle soulève. En outre, les actions d´Oscar Vautherin ont également une forme d’interrogatoire.
Les questions soulevées ci-dessus seraient valables lors des commentaires d´une autre des installations passionnantes du spectacle. C’est une nouvelle série de moutons reconnaissables, cette fois blancs, qui errent dans la pièce et qui ont été précédemment collectées dans une vidéo, où ils semblent arriver au bord de la mer, sur une plage près du lieu de l’exposition. Les êtres flottants tels que des cadavres qui peuplent habituellement les rives d’un monde inaccessible. Naufragé de la sensibilité et du reflet du naufrage latent que nous avons tous saisi. Des questions se posent encore une fois de manière enchaînées. Commentez la première chose qui apparaît dans l’espace d’exposition. Deux pieds de fer en équilibre sur un support suspendu dans l’air, qui fonctionne comme une planche sacrificielle lorsque les pirates et autres navigateurs obligeaient une personne à marcher dessus avant de tomber dans la mer. Les jambes sont en position de marche, atteignant la fin de ladite planche horizontale. Regardons de plus près maintenant. On découvre sous les pieds apparaissent de minuscules racines qui symboliquement la fixent à sa base. Oscar Vautherin nous dit comment marcher, même si c’est compliqué ou même douloureux, ces traces se développent dans la mémoire qui vous aident pour vous ancrer à votre réalité et qui, en tout cas, sont les petites traces que l’on laisse. Dans tous les cas, si à la fin de l’itinéraire vous finissez par tomber dans la mer son mouvement continu vous amènera éventuellement à terre.
Instalación galeria Kur, San Sebastian, Guipuzcoa
Un grupo de ovejas sin guardían que las vigile, se siguen unas a otras en un círculo, condenadas al infinito y perpetuo gregario. Para una que quiere distinguirse de las demás, lleva apresado en su pecho-jaula un pajarillo inerte.
Es en ese tránsito donde está la propuesta y el acierto.
Resulta imposible refugiarse en el primer estadio: ¡Qué bien resueltas están
esas ovejas de hierro!, ni el más primario de los observadores se puede
quedar ahí, y esa proyección hacia adelante de los contenidos es una clave
esencial en el arte, no sólo contemporáneo sino desde siempre.
En las pinturas rupestres, la magia de la comunicación con nosotros reside
en su capacidad para desde su eficaz puesta en escena, trasladarnos todos
sus anhelos, miedos, creencias y esperanzas. Ideas, en definitiva.
Quizá la mayor diferencia con estos predecesores reside en la INTENCIóN.
Pues, aunque el reflejo del mundo interior aflora por igual en ambos casos,
es ahora cuando el artista plantea la comunicación como eje esencial de su
hacer. Una comunicación que, en el caso de óscar Vautherin surge de la
observación de su contexto y de la decantación de su sensibilidad social,
generosa ante la debilidad e incisiva ante la desidia.
La narración se hace necesaria cuando se desarrollan contenidos de denuncia
o se ejemplifica una situación política. Esa narración se desarrolla de
manera esquemática como reflejo de las propias piezas, donde su acabado está
en el punto justo para no quedarnos en él y trasladarnos a esa búsqueda de
compromisos y complicidades con el espectador, de la que hablábamos antes.
En la pieza titulada «Ni perro ni pastor» encontramos diecinueve elementos
construidos en gruesa varilla de hierro y con aspecto claramente reconocible
de un ser vivo: la oveja. ¿Es que se puede pensar en un ser más débil? ¡El
pobre no tiene ni cuernos! Indefensión total, por eso es elegido.
Estos seres, dispuestos en un gran círculo, con sólamente dos rompiendo
parcialmente la linealidad más absoluta, intentando la diferencia, encierran
un hallazgo. Uno de ellos posee en su interior un pájaro muerto, visible a
través de la estructura de reja. Hasta ahí lo que nos da el artista. A
partir de ese momento hay que ponerse a pensar.Si el pájaro es doméstico y
se encuentra en el interior de una estructura de alambre, ésta se convierte
en jaula y por ende, todas las demás también. Jaulas andantes
unidireccionalmente, con un posible líder en la diferencia, pero que en su
interior no lleva vida. El que lleva algo, lleva un ser muerto. Dramática
simbología de un proceso social dirigido.
La jaula es un elemento recurrente en Vautherin, aunque me atrevo a pensar
que no es el elemento lo que le interesa, sino lo que implica en su
correlación hacia falta de libertad. Esa palabra tan grande, tan esgrimida
en otros tiempos, puede ahora también ser sacada a debate, aunque parezca
extraño, aunque parezca algo superado. Busquemos la esencialidad del
concepto y comprenderemos porqué un artista contemporáneo puede
perfectamente ponerla encima de la mesa.
La idea de LIBERTAD se ha entendido históricamente como posibilidad de
elección, como expresión de la voluntad, como ausencia de interferencias,
como liberación frente a algo o para conseguir algo, como ejecución de una
necesidad. En resumen, habría dos direcciones: la de «poder hacer» y la de
una limitación para hacerlo.
Esquematizando mucho, podríamos decir que durante el siglo XX se dan dos
tipos de actitudes, en el pesamiento, en cuanto a la noción de Libertad.
Por un lado los que consideraríamos «analíticos» y por otro los que serían
más afines hacia un tipo de reflexión «existencial».
En los primeros, el concepto de libertad lleva unido intrínsecamente el de
«determinismo». Los pensadores «deterministas», como Spinoza, sostuvieron
que la libertad consiste fundamentalmente en seguir la propia naturaleza,
por estar ésta unida a la realidad.
Estos autores, que se basaban en gran medida en Aristóteles, sostienen que
todo acto está determinado de algún modo, no encontrando conflicto entre la
posibilidad de que los actos de los hombres estuviesen determinados y la
libertad del individuo.
En el otro lado encontraríamos, genéricamente hablando, a los cercanos a la
corriente «existencial».
El concepto de libertad como un hacerse a sí mismo está presente en ellos.
Ortega nos describe que, siendo la vida humana algo que hay que hacer, no
hay más remedio que tomar decisiones en cada momento. No hay, pues, más
remedio que inventarse continuamente a uno mismo. En este sentido, la
libertad no es algo que tenemos, sino algo que somos o que vamos siendo en
el camino. Estamos obligados, por tanto, a ser libres.
Sartre ahonda en una línea similar con su famosa frase: «El hombre está
condenado a ser libre», aunque reconoce que en muchas ocasiones la realidad
humana trata de enmascarar su propia libertad y por consiguiente su
responsabilidad, ante la angustia que ambas le producen.
Para Sartre «La libertad humana precede la esencia del hombre y la hace
posible. El hombre no es primeramente para luego ser libre, sino que no hay
diferencia entre el ser del hombre y su-ser libre». De esta manera, el
autor niega el debate sobre si el hombre es o no libre, pues sólo puede ser
en tanto que sea libre.
Entroncando este planteamiento con la instalación de óscar Vautherin,
encontramos que en ese círculo de ovejas-jaula se estaría negando la propia
existencia de esos seres, pues su mutilación de libertad implicaría su
disipación como ser. Serían nada.
La pieza titulada «Piedad» recoge cinco intantáneas fotográficas, una de
ellas de gran formato, en las que se ve una niña-bebé desnuda manipulando
entre grandes cepos de hierro construidos para la ocasión. Inocencia,
peligro, tensión, indefensión, surgen en un primer golpe de vista. Pero
recordemos que el autor nos exige indagar mucho más. Considero que la
propuesta se refuerza completando cada una de esas sensaciones en forma de
preguntas encadenadas: PELIGRO, ¿para quién? ¿Quién siente el peligro: la
niña, el espectador, los padres? ¿Quién coloca las trampas? ¿De qué peligros
estamos hablando?
INDEFENSIóN, ¿Se debe sobreproteger a los seres débiles? ¿Se les debe dejar
andar el camino a riesgo de que su desarrollo pueda ser no deseable? ¿Un
padre debe arriesgar su vida o su proyecto de vida por su hijo?
TENSIóN, ¿El espectador necesita de una imagen de extrema violencia,
contenida o no, para desarrollar su humanidad? ¿El ser humano se ha
acostumbrado definitivamente a la tragedia ajena asumible? ¿Por qué una
situación que en un momento se entiende como aceptable socialmente en otro
contexto sería intolerable?
INOCENCIA, si en la pieza comentada con anterioridad un ser supuestamente
inocente, como es una oveja, se convierte en jaula, (que recordemos para lo
que sirve: precisamente para privar de libertad a seres inocentes), en ésta
imagen quiero cuestionar, o al menos plantear, la posibilidad de que esa
idea de niña tan inocente pueda también no serlo. Si observamos el conjunto
de la serie fotográfica, vemos que está todo lleno de cepos. Hay un hueco
que correspondería a uno de ellos que está ocupado por este bebé símbolo. El
propio ser inocente podría llegar a transformarse en otra emboscada,
teniendo en cuenta que desde siempre se han usado los niños como elemento de
retención, sujección y edificación en los núcleos sociales básicos. Está en
nuestra propia naturaleza.
En cualquier caso, esta apreciación personal se une a todas las que puede
generar esta imagen, pues su eficacia reside en esa capacidad de promover
preguntas que suscita. Además, los cepos de óscar Vautherin también tienen
forma de interrogación.
Las preguntas argüidas anteriormente serían válidas a la hora de comentar
otra de las excitantes instalaciones de la muestra. Se trata de una nueva
serie de reconocibles ovejas, esta vez blancas, que deambulan por la sala y
que han sido anteriormente recogidas en un vídeo, donde aparecen arribando a
la orilla del mar, en la playa cercana al lugar de la exposición.
Seres flotantes como lo son los cadáveres que habitualmente pueblan las
costas de un mundo inalcanzable. Naúfragos de la sensibilidad y reflejo del
naufragio latente que todos llevamos asido. Nuevamente surgen esas preguntas
encadenadas.
Por último, comentar lo primero que se aparece en el espacio expositivo. Dos
piernas de hierro apoyadas en equilibrio sobre un soporte suspendido en el
aire, que funciona a modo de tabla de sacrificio cuando los piratas y otros
navegantes hacían caminar por ella a una persona antes de caer al mar.
Las piernas están en posición de caminar, llegando ya al extremo de dicho
mástil horizontal. Miremos ahora con más detenimiento. ¡Ahí está el
hallazgo! Bajo los pies se asoman unas minúsculas raices que simbólicamente
lo fijan a su base.
óscar Vautherin nos plantea cómo en el caminar, aunque éste sea complicado o
incluso penoso, se desarrollan estas huellas en la memoria que te ayudan
para anclarte a tu realidad y que, en cualquier caso, son los pequeños
rastros que uno deja.
De todas formas, si al final del recorrido se acaba cayendo al mar, éste en
su continuo movimiento acabará por hacerte arribar a la orilla.
Leave a comment